Nous avons réalisé le nouveau site de la fabrique sur WordPress.

Pour se faire nous avons dans un premier temps réalisé un benchmark en prenant comme modèle 3 sites (https://simplon.co/, https://www.edenschool.fr/ et popschool.eu.com) pour nous inspirer des aspects que l’on voudrai et refuserai sur notre site.

Nous nous sommes ensuite divisé en 2 groupes : un qui devait réaliser tous l’aspect visuel du site (logo et photos) avec l’aide d’un membre d’une ancienne promo (Morjane) pendant que l’autre gérait toute la partie écriture et contenu du site avec un web developer qui devait nous apprendre à créer un site internet sur WordPress (Jeebrahil). Si au début j’était dans le groupe visuel, la semaine suivante j’ai décidé d’intégrer le groupe contenu, car j’étais plus intéressé par l’apprentissage de création de site qu par la création du logo et la méthode de travail avait changé d’une manière qui me convenait d’avantage. 

Si au début j’avais du mal à me sentir concerné par le projet car on ne faisait que choisir les design pendant que le web developer faisait toute la manipulation informatique. Agy à vite pris nos avis en considération, changeant ainsi la manière de travailler sur le site.

Ici la page d’accueil de l’ancien site de la  Fabnum

Et ici la page d’accueil du nouveau site de la Fabnum

Nous devions réaliser le projet d’une ancienne promo qui consistait à créer 4 boites à livres en partenariat avec la médiathèque de Gonesse qui devaient être répartis dans 4 parcs de la ville. Le but d’une boite à livre est de contenir des livres en libre-service dont l’approvisionnement est fait par les citoyens souhaitant partager leurs livres . 

Simon ayant lui-même réalisé les plans des boites, ma contribution personnelle consistait à réaliser 2 portes de 2 boites différentes dans des formats différents qui n’ont finalement pas été découpées car il y avait des modifications à apporter sur les plans des portes. Par la suite, j’ai été trop occupé par mes projets personnels pour penser à reprendre ce projet. 

Voici le premier modèle que j’avais créé pour une des boites. Les étapes de réalisations sont les mêmes que pour mes projets personnels. Dans un premier temps, je télécharge des images qui me plaisent sur Internet, puis je les décalque (ou vectorise) sur le logiciel Illustrator en y ajoutant des textes et enfin, je passe le résultat sur Lasercut pour paramétrer la découpeuse laser avant de lancer la machine.

Ici ma deuxième réalisation dans un second format qui répond aux plans d’une autre boite à livre :

Voici à quoi ressemble la première boite :

Et voici la première boite le jour de son inauguration début juillet où j’étais présent avec Simon et quelques membres de la Fabrique.

Avec Morjane (stagiaire de la première Promo de la FabNum), nous devions choisir créer une police d’écriture en choissant deux polices que l’on devait télécharger sur Dafont et les fusionner sur Illustrator.
Dafont est un site qui permet de télécharger des polices libres de droit.Ensuite, j’ai installé la police pour y avoir accès et pouvoir l’utiliser sur Illustrator.

Après quoi j’ai utilisé Illustrator pour procéder à la fusion qui nécessitait de saisir la moitié de chaque police sélectionnée, et de les unir ensemble.

Voici les deux types de police (Jenuary Fair et Arial Rounded MT Bolt)  que j’ai assemblé pour pouvoir effectuer la typographie si-dessous :
  January Fair

Arial Rounded MT Bolt

Voici mon résultat après avoir fusionné deux polices différentes :

J’ai choisi ce découpage, car j’ai trouvé que ça donnait un style original.

J’ai trouvé ça très simple au niveau manip et j’ai beaucoup aimé cette activité, car je suis une personne très inventive et j’adore l’originalité.

Cet article contient divers projets que j’ai créé pour moi ou pour mes proches sur Illustrator les lundis et mardis avec l’aide de Simon. 

Dans un premier temps, j’ai téléchargé une ou plusieurs images sur Internet qui me plaisaient puis je les ai « vectorisé » sur le logiciel Illustrator. La vectorisation consiste à décalquer une image pixelisé pour la rendre plus nette afin que les traits soient précis sans quoi la découpeuse laser ne marchera pas. Dans un second temps une fois que mon image est vectorisée je passe le document sur le logiciel Lasercut pour paramétrer la puissance et la vitesse de la gravure et de la découpe que je souhaite réaliser sur la machine. Ensuite, j’exporte le document sur une clé USB formatée pour la découpeuse laser qu’il ne me reste plus qu’à préparer (choisir le support à découper, ajuster la hauteur de la tête en fonction du support, allumer les aspirateurs de la machine). Enfin il ne me reste plus qu’à lancer la découpe en surveillant de temps en temps si tous se passe bien.

Les temps de réalisations sont difficiles à estimer. En effet, certains projets ont étés rapides à réaliser (20 minutes pour réaliser le petit porte-clés Godzilla) mais n’étant pas le seul à utiliser la découpeuse, je devais attendre mon tour qui me retardais des fois de 1 journée complète. D’autres projets m’ont pris beaucoup plus de temps pour causes de changements d’idées ou de modifications à apporter. 

Le genre de problèmes que j’ai le plus fréquemment rencontré était des problèmes de calques. En effet dans mes choix d’images, je me débrouillai pour sélectionner des images que je pouvais vectoriser automatiquement pour un gain de temps considérable, cependant ce procédé n’était pas parfait et sans défaut. Il arrivait souvent que des calques supplémentaires étaient créés par-dessus d’autres déjà existant en superposition les uns sur les autres devenant ainsi invisibles, ce genre de problèmes si on ne s’en rend pas compte compromettent le travail de la découpeuse avec un résultat loin de celui voulus.