Demande :

Le premier projet de l’année, on nous a demandé de faire le trombinoscope de la promo 7.

Il a été fait par d’autres promotions avant nous et se ressemblaient tous, donc la problématique était de faire quelque chose de différent.

Étapes :

Répartition des rôles :

La promotion était séparé en différents groupes, j’étais chargé de la partie graphique avec le logiciel Photoshop avec Josselin.

Brainstorming :

On a réfléchi a une autre forme de trombinoscope avec des polygones, on en est arrivé à une forme hexagonale. Cette forme fait penser à une alvéole et l’idée de la ruche naquit. Elle était à la fois remplie de sens et très originale.

Il fallait maintenant penser à la forme globale du trombinoscope et je suis parti sur une forme assez aéré avec l’idée de pouvoir rajouter des personnes et pas forcement symétrique.

Premier trombinoscope :

Vote de la promotion :

La promotion a dû choisir entre le trombinoscope de Josselin et le mien, il eu l’idée de placer le logo de la Fabrique au centre du trombinoscope, ce qui plu beaucoup, mais ma forme très aérée et l’idée de pouvoir rajouter des personnes au trombinoscope était aussi beaucoup aimée.

Trombinoscope Final :

Le trombinoscope final regroupe nos deux idées, il a été adopté par toute le promotion.

Ce que j’ai appris :

• Avec Josselin j’ai appris a avoir un esprit critique sur le travail d’un autre ou mais aussi sur mon propre travail.
• J’ai aussi appris à être pédagogue et j’ai initié Josselin aux bases de Photoshop.

J’ai fait une petite mise en page sympa sur le site « Canva » pour imprimer les numéros de téléphone de la Promo 7 et les afficher dans la salle afin que tout le monde puisse y avoir accès si besoin, autant pour les formateurs que pour les stagiaires.

Aperçu de l’interface de Canva avec la mise en page des numéros de téléphones. J’ai opté pour un style « Old School ».

L’annuaire à été affiché à côté de la feuille de présence ainsi que dans le bureau.

A la demande de Henrick, qui avait remarqué une pièce cassée sur un clavier, j’ai conçu une une pièce pour le réparer.

J’ai utilisé le logiciel SketchUp pour faire un modèle en taille réelle à partir des mesures d’une pièce d’un autre clavier. Je n’avais pas le matériel adapté à la mesure d’objets aussi petits (la pièce mesurait environ 2 x 1 cm), mais j’ai fait au mieux en essayant de deviner les graduations entre les millimètres. Toute la partie conception 3D m’a pris environ 1 heure.

Vue dans SketchUp

Ensuite, je suis passée à la préparation de l’impression 3D. Avant d’imprimer la pièce, j’ai dû exporter mon modèle SketchUp dans un format compatible avec le logiciel Cura. Dans cette application, j’ai pu examiner mon modèle pour y repérer d’éventuels bugs ou erreurs. Heureusement, il n’y avait pas d’erreurs sur le modèle et j’ai pu directement passer à l’impression.

(Cura est ce qu’on appelle une « application de découpage pour imprimantes 3D », quand on y importe un modèle, elle le découpe en plusieurs couches pour qu’il puisse être exporté dans un autre format qui sera compatible avec les imprimantes 3D.)

Vue dans le logiciel Cura

L’impression a duré environ 10 minutes sans aucun souci et la pièce s’est emboîtée dans le clavier du premier coup! #ace

La pièce imprimée

La pièce une fois montée sur le clavier

La demande

En raison de leur spectacle de Noël « Aliya et le Dé Magique », la compagnie de théâtre Cyclone a fait appel à nous pour leur fabriquer des accessoires. La commande consistait en un dé à coudre et des aiguilles en version agrandie.

Nous nous sommes d’abord séparés en deux équipes pour le design des accessoires, une pour le dé à coudre et une pour les aiguilles. J’étais dans l’équipe dé à coudre.

Nous n’avions aucune contrainte à part les dimensions sur notre design donc j’ai opté pour quelque chose de réaliste et j’ai pris des photos de dés à coudre comme modèle. J’ai pris environ 2 semaines à finir la modélisation du dé.

Le dé s’est imprimé sans problème du premier coup et j’ai laissé ce projet en pause en attendant un retour de la compagnie de théâtre. Quand j’ai finalement eu un retour, celui-ci était positif, il fallait juste mettre une mousse à l’intérieur du dé pour bien maintenir le doigt.

Après le dé à coudre, j’ai tenté de modéliser une aiguille. Toujours sur une idée réaliste, j’ai fait une aiguille qui ressemblait à la réalité.

Mon premier modèle d’aiguille était un peu trop petit donc je l’ai réimprimé un peu plus grand. Au départ la compagnie l’a trouvée de trop petite taille mais finalement ils ont trouvé une utilité à une aiguille de cette taille.

Pour l’aiguille principale, la compagnie avait préféré l’aiguille de Ali car elle était plus épaisse, et l’ajout d’une étoile à son design donnait une aura magique qui correspondait bien avec la pièce.

Cependant, l’image de l’aiguille était tellement dénaturée qu’on ne comprenait plus que c’en était une…

On nous as donc demandé de faire un modèle réunissant l’aiguille de Ali et mon aiguille afin d’obtenir un équilibre entre la magie et le réalisme.

J’ai fait quelque chose comme ça et Ali a fait un modèle assez similaire.

On a finalement imprimé les deux modèles, les avons assemblés et peints et ça a donné ce résultat final.

On a pris des photos propres des accessoires pour les envoyer à la compagnie en aperçu.

L’aiguille d’Ali, ma petite aiguille et deux dés à coudre.

Mon modèle d’aiguille

Au niveau de la solidité, nous avons eu un problème avec une aiguille qui s’est détachée. Aussi on nous a demandé un double des accessoires. Nous allions donc refaire des doubles, mais nous avons eu des soucis avec l’imprimante 3D qui était HS. Finalement, a nous avons réussi à fournir des aiguilles en double à temps et la compagnie était satisfaite de nos services. Ils souhaitent faire de nouveau appel à nous pour leur fournir d’autres doubles de pièces.