l’objectif

Pour comprendre les bases est le principe du codage, nous devons nous préparer sur le logiciel scratch. Sur scratch nous devons programmer des personnages est de leur ordonnant des actions est des paroles, nous devons interagir avec le logiciel. Ensuite, nous commencerons à réaliser des programmation plus complexe avec le logiciel arduino.

Les étapes du projet :

a) Notre formateur Simon nous explique comment fonctionne le logiciel.

b) Par la suite, nous réalisons notre propre animation, d’abord relativement simple nous évoluons et nous lançons dans des projet plus complexe.

c) Je décide de réaliser une animation basée sur les films d’horreur, pour cela, je recherche des images de qualités pour réaliser l’image de fond. Les personnages sont importés en png via google image.

d) Inspiré de plusieurs films d’horreur l’animation représente un homme probablement mort qui demande à une jeune femme si elle à aussi était tuer, elle lui répond que non, l’homme lui cri alors de fuir.

Ce que j’ai appris:

Ce projet m’a appris le principe est les bases du codages.

Les difficulté:

La principale difficulté fut de trouver des images en png de qualité.

La demande :

La compagnie du Cygne du théâtre de Gonesse a commandé à la fabrique numérique de Gonesse des accessoires.

Pourquoi:

Nous devons modéliser est imprimer en 3D un dé à coudre et une aiguille à tricoter pour leur prochaine pièce. Le dé à coudre et l’aiguille seront probablement magique.

Les étapes du projet :

a) Pour se faire, nous commençons par nous inspirer de modèles existants. Ensuite, il faut réaliser les premiers modèles sur le logiciel Skecthup. Au fur est à mesure que le projet avance nous recevons plus de détails sur les objets, comme par exemple les dimensions et les couleurs.

b) Nous importons les différents modèles, l’aiguille est dé à coudre sur le logiciel Ultimaker Cura pour régler les détails de l’impression, dimension et qualité.

c) Nous imprimons en 3D des exemples. Les responsables de la compagnie du théâtre approuvent les modèles réalisés. Une fois les deux objets imprimés en 3D, ils sont repeints de peinture dorée.

Ce que j’ai appris :

Ce projet cumula l’ensemble de la création d’objet jusqu’à leur modélisation et fut très instructif.

Les difficultés du projet :

Les information en lien avec le projet furent partiel et l’utilisation de l’imprimante 3D fut une nouvelle expérience pour chacun.

La demande :

L’association sport dans la ville nous confie la création d’un panneaux d’information des horaires de participation au sport proposer par ses membres.

a) Dans un premier temps Mathieu, le responsable du projet, vient nous expliquer sa vision de l’euro-dateur, est nous lui présentons no différent projet.

b) Après que Mathieu est validé certains de nos projets la réalisation finale peut commencer. Les matériaux et le budget sont déterminés, il faut alors attendre le financement.

La demande :

La promo 7 a pour premier projet de réaliser un trombinoscope.

Pourquoi un trombinoscope : 

Ce trombinoscope réalisé tout les ans par les différentes promos qui se suivent, ce trombinoscope permettra d’assembler les différents portraits des élèves de la promo 7.

Les étapes du projet.

a) Pour réaliser le trombinoscope de la promo 7, plusieurs groupes sont formé. Mon groupe a pour mission de réaliser les portraits de chacun des membres de la promo 7.

b) Nous commençons par définir le cadre pour réaliser les portraits. Passionner est diplômer en photographie, je réalise les portraits en extérieur profitants des couleurs d’automne.

c) Par la suite, d’autres membres de la promo 7 retravailles les images sont retravaillées via le logiciel adobe Photoshop et Illustrator.

Difficulté de la prise de vue :

La principale difficulté fut de trouver des zones pour les photos, car le soleil était très fort et l’environnement peut adapter.

L’objectif :

Nous devons placer un logo de notre création sur nos pc afin de les personnaliser.

Les étapes du projet :

a) Pour se faire notre formateur, nous explique la vectorisation sur le logiciel Illustrator. Nous devons choisir un ou plusieurs logos sur Google image.

b) Ensuite, nous devons les importer sur Illustrator pour vectoriser les symboles en question. Cette étape Vectoriser une image consiste à la transformer point par point afin de la rendre vectorielle. Les images en . Jpg, . Gif, . Png… Sont dites matricielles, elles sont composées de pixels alors que les images vectorielles sont en .Aie ou .Eps. Celles-ci sont ainsi composées de lignes de segments liées par des formules mathématiques qui sont recalculées dès qu’il y a un changement de taille. Ainsi, l’image vectorielle peut être agrandie à l’infini sans de dégradations de sa qualité.

c) Pour se faire nous disposons de plusieurs possibilités, nous pouvons d’abord sélectionner manuellement les dessins avec les outils plume dans Illlustrator, ou alors pour les formes relativement simples procédé à une vectorisation automatique.

 d) Ensuite, nous l’imprimons sur le plotter afin de lui donner vie et de le placer sur notre pc. Le plotter est une machine fonctionnant via un logiciel avec lequel nous confirmons nos logos. Ensuite, avec des rouleaux de vinyle, la machine imprime notre logo.

e) Une fois le vinyle passé au plotter, il faut coller le dessin sur notre pc, ses unes étapes délicates. Nous nous aidons d’un cutter pour mieux prélever la forme du vinyle.

Ce que j’ai appris :

Ce projet m’a permis d’apprendre à vectoriser sur le logiciels adobe Illustrator.

Les difficultés :

J‘ai rencontré des difficulté à l’utilisation des outils de dessin et de sélection sur Illustrator.